Saviez-vous que la tradition de la galette des rois remonte aux Romains ? Oui, oui, aux Romains ! Pendant les Saturnales, fêtes romaines qui avaient lieu fin du mois de décembre et début janvier, les riches familles romaines tiraient quelqu’un au sort comme « Roi d’un jour ». De ces fêtes ont été tirées des fêtes comme l’Epiphanie que l’on célèbre de nos jours.
La galette était découpée en autant de parts que de membres présents dans la maison. Le plus jeune d’entre eux se mettait sous la table et nommait au hasard, d’une main innocente, la personne à qui était destinée la part de gâteau qui venait d’être découpée. La fève faisant office de bulletin de vote, celui qui la trouvait dans sa part devenait le « Saturnalicius princeps », le Maitre des Saturnales ou plutôt le Roi du Désordre. Cette personne recevait les pleins pouvoirs pendant une journée, même si cette personne était un esclave. Bon, ce qui était moins amusant pour elle, c’est qu’à la fin elle était souvent mise à mort.
Au moyen-âge, on n’est pas très loin de cette tradition. Si ce n’est qu’on coupait une part en plus, dites la « Part du Bon Dieu », que l’on donnait au premier pauvre que l’on croisait en rue.
Même Louis XIV mangeait de la galette des rois !
Et la tradition n’a jamais cessé.
La galette était découpée en autant de parts que de membres présents dans la maison. Le plus jeune d’entre eux se mettait sous la table et nommait au hasard, d’une main innocente, la personne à qui était destinée la part de gâteau qui venait d’être découpée. La fève faisant office de bulletin de vote, celui qui la trouvait dans sa part devenait le « Saturnalicius princeps », le Maitre des Saturnales ou plutôt le Roi du Désordre. Cette personne recevait les pleins pouvoirs pendant une journée, même si cette personne était un esclave. Bon, ce qui était moins amusant pour elle, c’est qu’à la fin elle était souvent mise à mort.
Au moyen-âge, on n’est pas très loin de cette tradition. Si ce n’est qu’on coupait une part en plus, dites la « Part du Bon Dieu », que l’on donnait au premier pauvre que l’on croisait en rue.
Même Louis XIV mangeait de la galette des rois !
Et la tradition n’a jamais cessé.
Et cette semaine, j’ai testé de faire une galette des rois maison. Alors d’accord, je suis un petit peu en avance par rapport à l’Epiphanie. Mais, au départ, c’est un test en prévision de la vraie galette des rois. Je dois aussi vous avouer que je ne rate jamais une occasion de gouter une pâtisserie. Et puis finalement ça fait une (loooongue) pause blocus assez sympa.
Voici donc mon œuvre royale !
La recette est tirée d’ici : http://cuisine.journaldesfemmes.com/recette/314887-galette-des-rois
Voici donc mon œuvre royale !
La recette est tirée d’ici : http://cuisine.journaldesfemmes.com/recette/314887-galette-des-rois
Elle est vraiment simple et facile à suivre (il y a même une petite vidéo). Enfin, en théorie. Parce que, douée comme je suis, j’avais inversé les étapes badigeonnage et dessin sur la pâte. J’avais aussi oublié de vérifier que j’avais bien un pinceau de cuisine. Mais pas de panique, rien n’a explosé. J’ai eu résultat presque parfait ! Presque. Dans ma hâte de dévorer – ahem – goûter, je n’avais pas laissé le gâteau assez longtemps au four… Non promis, je ne fais pas exprès d’être Miss Catastrophe en cuisine.
Malgré tout cela, il était quand même vraiment bon ce gâteau.
Malgré tout cela, il était quand même vraiment bon ce gâteau.